• Rufus Scrimgeour

    Rufus ScrimgeourAncien Ministre de la Magie. Rufus Scrimgeour officiait, avant sa nomination au poste de Ministre en juillet 1996, en tant que directeur du Département des Aurors, et ce depuis 1979. Il est décrit lors de sa première apparition comme ressemblent plutôt à un vieux lion, avec une certaine prestance et une démarche gracieuse. Il s'agit d'un homme d'action, qui ne mâche pas ses mots et fait preuve d'un grand manque de tact. Tout comme son prédécesseur, Cornélius Fudge, il tient à ce que Harry fasse de la publicité pour le ministère, ce à quoi ce dernier et Dumbledore sont fermement opposés. En effet, Albus Dumbledore le décrit comme plus volontaire et plus affirmé que Fudge. Il dit aussi que Scrimgeour ne sous-estime pas Voldemort. Pourtant, lorsqu'ils se rencontrent, ils ont un différent qui concerne Harry Potter. Car les temps sombres ne l'aident pas, il espère donc rencontrer Harry et le convaincre de faire la publicité du ministère pour remonter le moral dans la population, mais Harry refuse clairement à Noël 1996. Scrimgeour prend de nombreuses mesures contre Voldemort, mais elles restent peu efficaces. Il cherche surtout à donner l'impression d'agir, ce qui passe par des arrestations fondées sur des soupçons (celle de Stan Rocade lui est fortement reprochée par Harry et Dumbledore). Il passe aussi sous silence l'évasion de nombreux Mangemorts d'Azkaban, comme Yaxley ou Lucius Malefoy. Aux funérailles d'Albus Dumbledore, il tente une dernière approche auprès de Harry, qui se solde encore par un échec. Il fait sa dernière apparition directe le 31 juillet 1997, quand il apparaît en personne à la soirée d'anniversaire de Harry Potter en apportant le testament et l'héritage de Dumbledore à Harry, Ron et Hermione. Rufus Scrimgeour est tué deux jours plus tard par les Mangemorts lorsque ceux-ci prennent possession du Ministère de la Magie. Torturé par Voldemort, il meurt en refusant de lui révéler où se cache Harry Potter. Sa mort laisse la voie libre aux Mangemorts pour installer leur régime de terreur.